Les Tempes du Temps, blog-notes de Claire MassartIdées, images, musiques à partager pour un tissage de qualité avec ceux qui pensent, qui vivent poétique. "Ceci est la couleur de mes rêves" J. MIRÓ
Jouons avec les noms de lieux : du plus joli à l'oreille au plus long, du plus court au plus évocateur de douceur. Donnez moi les vôtres, s'il vous plaît.
Grâce à un mot, EASY, vous décrivez un état d'âme, une situation, vous appelez une quiétude qui vous fait défaut. C'est un mot mantra qu'il faut expirer. On peut toujours essayer, non ?
Quand une photo inspire un tableau : quand deux artistes jouent leur partition, la première interprétant le réel, la seconde interprétant cette interprétation.
Quand on aime la langue et qu'on se penche sur l'histoire de l'écriture, on voit apparaître les VOYELLES ! Et ça change tout. Essayez de prononcer le mot YOUYOU en supprimant les voyelles...
Le bon vent ? Le mauvais vent ? Hélas... Plutôt celui qui dessèche, qui brise, qui arrache. Celui qui n'en démord pas comme un macaque.
Pardon pour ce billet triste.
Je découvre un immense écrivain. Tout ce que j'en ai lu m'enchante. Et je dis au revoir à un grand musicien, so Chick ! Ils vont bien ensemble, mes deux artistes.
Les mots qui écorchent yeux et oreilles ! Non parce qu'ils sont nouveaux mais parce qu'ils désignent - plus ou moins exactement d'ailleurs - des choses qu'il faut nommer différemment. Pourquoi ? Réponse complexe.
Entre liseuse pleine et cadeaux (merci TOUS les ami(e)s), par ces temps exigeants en immobilité, on lit. On ne grappille pas : chacun des livres évoqués ici requiert toute mon attention. Et je retrouve un goût, une saveur, un plaisir, oui un bonheur.
Suite et fin (?) de la réflexion que Mireille Delmas-Marty nous propose : l'humanité de l'humain, et ce qui, dans la nature, devrait être considéré comme BIEN COMMUN MONDIAL
Quand certaines personnes vous aident à réfléchir plus " sérieusement " sur ce qui se joue en ce moment.
Des notions complexes examinées avec intelligence : je me sens moins bête.
Lorsqu'on tombe sur un livre torrentiel, qu'on tente de regagner la berge et qu'on est repris par les tourbillons, ceux des voix, des mots des images. Épuisant voyage. J'aime quand on sue avec l'auteur (une pensée émue pour le traducteur et l'audacieux éditeur. )
Quand un mot parle plusieurs langues, polysémique, c'est chic ! Quand le mot n'est pas très beau (franchement, TREMPE) mais nous laisse jouer avec lui.
Il y a des couleurs qui font jaser (jazzer). Le BLEU - qui n'est pas ma couleur préférée si l'on peut en avoir une ! - est riche à foison d'histoire, de symboles, de déclinaisons. On n'en fait pas le tour (zut, j'ai oublié les potiers de Safi !)
Demain commence le mois d'août. Variations autour de mots aimés, mots d'ici et d'ailleurs, de science et de philosophie, de hasard et de joie. Dans le désordre.