Morceaux d’été
Quand l'été ramène les amis. Quand on retrouve la nature, ses lumières et ses bêtes. Quand l'eau est l'invitée et l'hôtesse, l'indispensable présence.
À jamais, l’île (1)
Un lieu : à la fois paisible et rugueux. Une île qui fait partie de cet arc sacré autour de Délos. J'en aime chaque rocher, chaque plage, chaque nuage.
Des lieux et de leur nom
Jouons avec les noms de lieux : du plus joli à l'oreille au plus long, du plus court au plus évocateur de douceur. Donnez moi les vôtres, s'il vous plaît.
Paris
Quand on revient de Paris sens dessus dessous, sentiments très mêlés, le prix pour un bon moment est très élevé. Mais il y avait l'immense Nicolas de Staël. Ne retenons que ça !
Folles dendrophiles
VÉGÉTAL Je passe sur les lauriers roses (et blancs et rouges), je délaisse les figuiers de Barbarie déchaînés,…
Parce que c’était lui…
Parce que c'était lui... Le Balthazar tiniote, en plus d'une amitié sereine, fait naître une quantité de sensations. Certaines bêtes ont ce pouvoir.
Les cigales d’Égine
Une magnifique petite île, douce. Plus que jouer au guide touristique, vous donner en partage le saisissement de la beauté, les présences immédiates et lointaines.
TERREMOTO
Des souvenirs de tremblements de terre, dans l'enfance et mon pays natal pour le premier, dans la jeunesse et le pays le plus exotique que je connaisse pour le second. Les deux très forts.
L’île longue
Le bout de l'île : y aller, bien sûr en traversant des lieux fous. Y arriver, s'y baigner. Se dire : j'y suis.
Le doux pays, avant d’autres départs…
Quand l'humble pays vous donne tout sans bruit. Souriant et presque timide. Accepter tout en confiance et ne pouvoir offrir que son regard.
En guerre !
Quand on entasse trop, qu'on ne sait plus classer pour l'avoir trop fait dans son métier, quand les papiers, TOUS les papiers s'empilent... Quand on ne sait plus par où commencer, découragée : le bureau restera capharnaüm.
Vous avez l’bonjour de…
Carte postale d'un lieu simple où l'on respire, où l'on reprend des forces. Où le fait de regarder le ciel nourrit, permet le tutoiement de la solitude.
Glaner – Flâner
Les rencontres pendant les promenades en forêt : tout un monde proche !
La grande ville
La grande ville, on l'aime pour ses trésors. On la déteste pour ses misères, sa multitude, sa crasse. On peut y voir et entendre des merveilles mais... on l'adore quand on en part.
Ce que l’eau ne dit pas
Quand on sait écouter l'eau et ses secrets : toutes sortes de bêtes, de mouvements, de couleurs, tous les bleus.
Bestiaire d’été + chimpanzés
On croise des animaux. On s'en approche, on essaie. Parce que leur contact nous apaise, nous simplifie la vie. D'autres bêtes peuplent notre esprit, ceux d'un livre. ANIMA
Compter les prunes
Généreuse nature : les pruniers en folie cette année. Il y en a pour tous les goûts. Ramassez vite. Tout doit disparaître. Les oiseaux aideront, eux et d'autres bêtes, on l'espère !
Îles mobiles – 3. Bestiaire
Les bêtes de l'île, enfin une petite partie, les vraies, les imaginées, les petites, les grosses. Une sélection très subjective.
Îles mobiles – 1. Le voyage
Aimer les îles. Aimer y arriver en bateau. Aimer imaginer qu'elles voyagent elles aussi. Aimer la mer, ses couleurs, ses formes, sa présence.
International
On voyage vite et loin, à pied, en bateau, avec les gens et les animaux, surtout les oiseaux. Tout ça à Bordeaux, bords d'eaux.
Voir la ville
Bordeaux, ma ville ? Si l'on se sent chez soi en ville (à dire vite).
Soufflez… Respirez !
Du vrac de saison : on erre...
Athènes, au pluriel
Quelques heures à Athènes, plein les mirettes !
III. Oiseaux (L’Herbe Bleue)
Oiseaux : troisième texte de L’Herbe Bleue – Photos Clarisse Méneret-Massart
Au bal des jonquilles
Le parc aux bâtisses nostalgiques et aux fleurs précoces.
II. Solitude de l’île (L’Herbe Bleue)
Texte 2 de L'Herbe bleue : Solitude de l'île
Il pleut des chats
Les chats de là-bas
Amarres
On sait toujours qu’un voyage s’achève sauf à être un routard permanent. Ce qui est loin d’être mon…
Deuxième carte postale : Les doigts dans le Né
Comment retrouver la source d'une rivière ?
Carte postale 1 : un moulin
1ère carte postale : confins Dordogne Charente
Vrac total de juin
Évènements de juin : de tout un peu...
Alors, on est partis
Carte postale grise
La ville qui monte (ou qui descend)
Une ville pentue, peinte, peps !
Quoi de neuf ? Tout ! Où l’on en voit de toutes les couleurs
Le printemps : on en voit de toutes les couleurs !
Bordeaux
La ville que je ne peux dire mienne
Parfois Paris partout…
Quand la provinciale revendiquée est à Paris, elle parcourt le monde et l'histoire.
Dans l’herbe avec Jacques Réda
Voyager avec RÉDA à solex, en train, à pied, en ville, en campagne, en Grèce, en Écosse... Voyager. Voir. Vibrer.
Là-bas, l’été de la Saint-Martin
L'été de la Saint-Martin, plein les yeux et les oreilles.
Un p’tit dernier avant la route : fort et doux
Lieux aimés, bagage de douceur pour affronter la traversée de jours courts et mauvaise mine.
Carte postale : la maison des bicyclettes à l’envers
Une maison que je dévoile un peu : je demande pardon de ces indiscrétions aux intéressés.
Quatrième carte postale : ROUGE
Du Rouge au ROUGE mais sans violence !
Les enfants des marais
La magie des marais, des enfants et des oiseaux
Moyennant quoi… (carte postale mouillée)
Déluge en juin, chagrin
Mamounia d’avant
La Mamounia existait avant le tourisme de masse ! Na !
Petit bestiaire agenais (en attendant le Temps)
Les bêtes compagnes des ballades
Tristesse et tango finlandais
Le finnois, les finlandais et le tango