Ce n’est pas de l’immodestie : juste une façon de remercier et de laisser parler d’autres voix sur la mienne, celle de Dominique Boudou, écrivain. Sur son blog http://dominique-boudou.blogspot.fr/ il me fait ce cadeau que je vous transmets :
“Après Six petites perdrix, publié en 2010, Claire Massart fait paraître L’Oubli des étangs, toujours aux Éditions du Greffier. Elle poursuit avec cette nouvelle livraison son chemin philosophique en interrogeant la permanence fragile de la nature. “Et si les lieux n’étaient que nous-mêmes ?”, écrivait Catherine Sanchez au sujet de Claire Massart. Hélène Baron lui fait chorus : “On devient alors la respiration des arbres, le baiser de la rivière, ces ombres d’arbres qui se bagarrent sur le mur…”
Claire Massart n’est pas une promeneuse des arpents bucoliques où la pensée s’alanguirait. La nature est aussi un tumulte en écho avec les tumultes des souvenirs. L’écorce des troncs et l’écorce du cœur saignent tout pareil. Parfois, “il pleut des cris”.
Je vous recommande vivement la lecture de cette voix discrète et néanmoins ferme ainsi qu’une visite à son blog Lestempesdutemps.com […]. Savourez lentement les extraits suivants :
Un réel bonheur de lecture aussi bien l’Herbe Bleue avec des photos magnifiques, que L’oubli des étangs. Je suis admirative de vos évocations, sans trop en dire on est baignée dans l’atmosphère du lieu, en empathie avec les sentiments ; vos trouvailles d’expression m’enchantent, quelques unes : l’air circule entre les jambages des pins, les nuages normands qui font la ouate au détail, le vent a quartier libre… j’envie votre pouvoir avec les mots, je sais la recherche que cela impose, bravo. Je compte bien être à la librairie Olympique le 3.
Grand merci à très vite
À vous merci, Renée, pour votre lecture attentive (on sent votre propre familiarité avec les mots), votre adhésion et votre entrée dans mon monde. C’est gratifiant.
Le RDV à La Librairie Olympique est le 4 décembre.
Oui, à bientôt et merci encore.
Ton livre mérite d’être connu. Bien des poètes installés n’ont pas ta profondeur. Bon week end under the rain mais sans Terje Rypdal.