Je ne peux le nier : c’est un grand plaisir. Et comme toujours, il se partage.
Voici qu’est né le dernier recueil. Nous en reparlerons. Je vous donne à voir – et à lire, quoique… – la couverture de L’Oubli des étangs, paru ce 4 novembre, aux éditions du Greffier.
Plein de personnes à remercier : mes éditeurs, Jacques et Jacqueline ; ma re-lectrice à l’œil d’épervier et auteur de la 4ème de couverture, Hélène Baron ; mon camarade-mari silencieusement présent, efficace et patient ; les amies attentives et aidantes (elles se reconnaîtront).

4ème de couv.
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“La parution-naissance d’un nouveau recueil” je lui souhaite un bel accueil et vifs succès…Merci ma franginotte de ton coup de fil de ce jour… Suis un peu “out” en ce moment. Je t’embrasse
doux doux. Nana
Un ” blues ” saisonnier n’est pas interdit… Il faut parfois se mettre en retrait, dire ” pouce ! ” (sauf pour encourager sa sœur qui répond “merci, ma Nana, merci “)
Je viens de te chroniquer : ton livre a de vraies et touchantes beautés qui méritent un audience plus large. Envoie de ma part des extraits de tes ouvrages à Recours au poème.
Est-ce qu’un mot si petit – MERCI – peut suffire ? Je te l’adresse avec force, sachant que les personnes qui donnent savent recevoir : ce sont les mêmes. Et toi…
Quant à ta chronique ! Touchée et pleine de grattude pour ta lecture si juste. Venants de toi, écrivain jusqu’aux tréfonds, ces mots-là sont un vrai cadeau.
Quel titre merveilleux !
Ah ça oui! On va en parler…
Merci beaucoup… Et je sais avec qui je vais aimer en parler. Et nous savons que n’oublions rien ou pas grand-chose et surtout pas les étangs, les étant(s) : la mémoire des étants, dans tous ses
états (d’âme).