Quelqu’un a-t-il vu mon billet n°246 ?
J’ai perdu ” l’œuvre désœuvrée ” de Blanchot.
Il a disparu de mon blog après avoir été posté, hier le 2 décembre 2011.
Si trouvé, prière de le faire savoir à tempesdutemps.
Je ne sais pas si j’aurai le courage de le refaire…
Je m’étais appliquée…
Et c’était l’opposé d’un billet navrant, du moins j’espère. C’est peut-être à cause de la musique qui l’illustrait : J’ai perdu mon Eurydice. Ben moi, j’ai perdu mon billet sur Blanchot.
Ben comment c’est possible, ça ?
J’ai vu ton billet, oui. Et même que j’ai des soucis avec internet, c’est long, c’est long, les pages s’ouvrent après quinze plombes d’attente… le temps de faire le tour des boulevards…alors
parfois je me dis que je lirai plus tard, parce que le temps est passé. Plus tard veut dire que tout ira bien, au dougt et à l’oeil. Là, j’ai vu, mais pas eu l’oeil…je l’avoue.
Mais seulement comment c’est possible ça ? Me voilà donc privée d’un billet fameux, comme ils le sont toujours, les tiens…
Je me demande, je me demande… Et là aussi on a le temps defaire le tour des boulevards…Se demander prend toujours du temps !
Je suis sûre que c’est un complot, Brigitte ! Tu avais le temps, bien sûr que tu avais largement le temps, deux ou trois tours de boulevards au moins !
Les méfiants diront que je fais ça pour me faire de la pub… Mais non, certains de mes abonnés l’ont vu, ce billet disparu ! Encore un coup de Blanchot !
Oui lu et admiré. Vraiment dommage qu’il ait disparu car c’était un bon papier à faire réfléchir : peut-on encore aimer un écrivain sachant quel a été son passé parfois troublé ?
La banalité est faite d’un mystère qui
n’a pas jugé utile de
se dénoncer.
Maurice Blanchot, Faux pas
Troublé et… trouble : troublant. Tout comme la disparition du billet.
Contente que tu l’aies lu : tout n’est pas perdu. Merci, Véronique
Magnifique, hein, cette écriture !