Billet sens dessus dessous :
Photo Clarisse Mèneret
Sur le feu, des tas de trucs mijotent ! Gloub gloub swingue le bouillon comme dit l’ami Minvielle. M’en direz des nouvelles. Faut que ça cuise à feu doux mais le printemps s’impatiente. Et moi, je cours après, à touiller, à épicer, à re-touiller, à assaisonner de saison et pas de recette pour une ” saison pressée que nous ne prendrons pas le temps de boire “! (Coucou, Marie-Lou).
En avril, ne te découvre pas d’un fil de haricot, honore tes saints de glace, ne crois pas aux dictions (enfin, pas trop) et cultive ton jardin.
L’printemps prend pas son temps et trop de casseroles à la fois cuisottent, concoctent et à trop tambouiller, j’y perds mon latin de cuisine.
Aucun rapport sinon peut-être l’urgence : j’aime complètement et passionnément la musique qui suit !
Plaisant désordre dans ce petit billet. Et si les arbres s’y mettent aussi… mais où va-t-on ?
Et Beethoven, le passionné, pour rétablir l’ordre (oh ! quelle vilaine expression !). (Je dis “pour rétablir l’ordre” car je le crois tout sauf brouillon en ce qui concerne la musique)
Tout est bien qui finit bien.
Faut dire quand même que c’est un peu le bin’s dans les arbres et ailleurs. Z’y vont tous de leur couplet (et refrain) “On est vivants ! On est vifs “. Alors, c’est contagieux.
À Samedi, mamzelle Hop ?