La crise financière

Jean Bizien NYC, 1951Jean-Bizien-NYC-1951.IMG.jpg

Il me semble que je suis ignare, inculte, bête en un mot… La criiiiiiiiiise, je ne comprends rien à rien, rien de rien, que pouick, que dalle, nada !  » Ils  » en balancent des explications, des quand, des comment, des pourquoi-parce que. Ils en disent des mots simples et d’autres compliqués, des histoires de banques et de politique, paraîtrait même que c’est complétement imbroglié. Je m’applique pourtant, je lis des trucs en aiguisant mes neurones, j’en écoute, j’en regarde, j’essaie de visualiser le  » rachat de la dette  » et sa revente. J’ai une lueur d’espoir parfois, il me semble que je suis (du verbe suivre)… Et PLAF, un moment où ils ont prononcé un mot que je ne connais pas, ça dérape, je dévisse, je suis perdue. Par exemple, lorqu’ils disent que  » les obligations synthétiques adossées à des créances sont toxiques  » je ne comprends que le dernier mot. Mais celui-là, je le connais !

Et ce que je comprends parfaitement, c’est que sur ce terrain de crise (plus pour certains que pour d’autres, la crise), nait et pousse, le populisme pour levier, un vieux fachisme bien puant, avec repli identitaire, racisme, bouc émissaire et tout le tintouin. Ça s’est déjà vu et ça se verra encore : au secours, ça se VOIT MAINTENANT !

Alors :

Ça dépote, les vieux Pink, ça dépote encore !

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