Brigitte Giraud (me) fait un présent :
Et comme je suis très émue, je ne dis rien. Mais elle sait…
Sur son site, il y a beaucoup de très beaux moments. Celui-ci est particulièrement fort pour moi.
Si vous voulez partager, en parler, avec elle, avec moi, ou garder pour vous… On fait ce qu’on veut et/ou ce qu’on peut avec l’émotion.
Merci à Brigitte et à Maman, à tout ceux qui continuent de faire vivre ce projet.
Trop émue pour en dire plus.
Tu es tellement présente… Voilà, NOUS sommes vivant(e)s. Et demain, il fera jour et, nous irons marcher, même s’il pleut.
Émotion, oui. Et amour.
Ce texte est très beau, tout en retenue et puissance à la fois, comme la mer qui l’accompagne. Je comprends combien il doit toucher ceux qui ont connu le disparu. Ce visage presqu’angélique et
pourtant traversé de tant de doutes et de douleur….
Difficile de dire plus, difficile de penser qu’après de tels drames, il faut vivre avec, et sans. Compassion…
Merci à toi de ta présence, fine et délicate, ici. Vous êtes tous une aide précieuse dans ce partage.
Je suis contente d’avoir fait cette vidéo, aidée par toi, Claire. Les mots de Thomas et les tiens amènent ailleurs, sur d’autres terres, adoucies, je ne sais pas, j’espère, j’espère…
Adoucies peut-être… Mais fertilisées, c’est sûr ! Magnifiées, ces terres d’absence qui sont maintenant peuplées de regards et d’émotion, pour que quelque chose continue, toujours et toujours,
comme cette vague.
Infiniement, Brigitte, merci.
J’ouvre enfin le blog… Absente quelques temps.
Quel boulversement! qui arrache encore des larmes et qui fixe des moments douloureux et merveilleux. Du fond de mon coeur, merci Brigitte (ma Touareg), ta vidéo est un cadeau inestimable, images,
photos, musique, la voix de Françoise Faucher est un immense trésor.Merci de ce merveilleux clin d’oeil…
Ma soeur Claire, merci de nous faire partager ces instants précieux et de pouvoir communier avec Thomas et Toi…..
Oui, Brigitte est douée d’une des plus belles sensibilités que je connaisse. C’est grave sans pesanteur, c’est beau simplement, sans apprêt. Ça coule, ça roule, on s’installe dans un autre temps.
Celui de l’absence.
Merci à toi, Nana, d’être là et de partager. Merci.