Les affres du départ qui recommencent dans le sens inverse. Les montres à mettre à l’heure du pays. Penser au printemps que l’on va retrouver, aux personnes qui vous attendent, aux animaux qui n’en pensent pas moins.
Se dire qu’on reviendra, c’est sûr, c’est promis, c’est juré, croix de bois croix de fer.
Dire aux amis d’ici qu’on les attend déjà, qu’il faut qu’ils viennent saluer la Garonne et le Bassin.
En attendant, écouter encore l’accent canard-berrichon de nos potes et remercier la vie de ce qu’elle nous donne quand on sait recevoir.
À suivre…
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