“Je suis obscur comme le sentiment.” Pierre Reverdy – Le Gant de crin
On me dit que mes vieilles tempes peuvent encore apparaître. C’est ce que l’on va voir. On me dit, dans une langue que je maîtrise mal, faites ci, faites ça. Je fais. J’essaye de faire. Si ce blog est de nouveau visible, j’essaierai d’y faire vivre le réel et la joie, difficile compagnonnage.
Pour l’instant, je vis dans la mélancolie d’un passé que je n’ai peut-être même pas vécu et dans la joie présente d’un oiseau venu donner, sans le savoir, sa petite silhouette.
Alors, sans doute à bientôt.
Choisissez de suivre tous les commentaires ou seulement les réponses à vos commentaires
1 Commentaire