Quand j’écris – en toute humilité en pensant au » gueuloir » de Flaubert – je lis ensuite, assez fort et j’entends si ça tient la route, si ça parle, si ça incante… J’aime aussi entendre, comme si un autre sens émergeait, un sens différent ou en plus ; et l’irremplaçable alchimie du son, du mot dit.
En une semaine, d’un samedi l’autre, j’ai entendu la musique des textes : la
(Ci dessous Festival Nomades)
Juste à côté des Bassins à flots, tout près du fleuve qui charrie nos équipées intérieures, emmène et ramène nos vieux rêves de départs, nos rimes arrimées.
Merci les messager(e)s, merci les passeurs de rives.