J’oubliais caillebottis et bien sûr Caillebotte ! Et n’allez pas croire que je me laisse aller à de faciles assonnances. Non, non… Tout est lié.
Parce que j’ai toujours aimé le mot caboter et qu’il est dans ma tête associé à une chanson intitulée Vieux cabot chantée par Maurice Chevalier, je m’étais promis d’aller voir cette histoire de mots d’un peu plus près…
Bon, cabotons gentiment du côté des cabots : que trouvons-nous ? Caillebotte peint ce fier caniche ! (à droite)
Mais aussi ces canoës (à gauche).
Quant à Andrew Wyeth dont je parlais récemment (et cette fois, je l’écris bien, merci Lucie !), il a aimé peindre ce chien endormi dans la chambre des maîtres (ci-dessous). Et je trouve ça plein de tendresse et de douceur…
Au départ, un cabot est un chien à grosse tête. Quand un cabot a la grosse tête, il est cabotin. Simple non ?
Comme celui de Gus Bofa (connaissez-vous Gus Bofa ? ) qui cabotine vraiment ci dessous :
Moi, c’est ce que je préfère, caboter en culture, aller de cap en cap, naviguer près des côtes, être en mer avec la terre en vue. Si l’on s’aventure en haute mer, il vaut mieux que ce soit sur un fier cargo, pas trop escargot, et en bonne compagnie.
Cabotons sans cabotiner mais avec des cabots ! Et 2 musiques, 2 !
Le Vieux cabot du vieux Maurice et puisque caboter vient de cap, la voix inoubliable de la grande capverdienne, Cesaria Evoria avec Kayah.
Le jeu du jour est de compter le nombre d’occurence de la syllabe CA dans le billet. Vous gagnez un autre dessin de Gus Bofa.