Je ne pars pas au Mexique mais ne peux résister à la musique de Arturo Perez (Danzòn n°2) surtout dirigée par Gustavo Dudamel : ça s’écoute à fond, se regarde pour la beauté des instruments et celle du chef et… ça se danse !
AHHHHHH… Je vous dis ça parce que je pars en vacances une semaine : je vais chercher le soleil en espérant qu’il existe encore. Promis, j’en rapporterai dans ma valise.
Et encore OHHHHH parce que là où je vais, il y a aussi du vent parfois. Ça fait beaucoup d’images mais la torpeur me gagne déjà et la paresse aussi.
Promis aussi : du mimosa, des senteurs, des beautés pour les yeux et donc l’âme et tout ça.
Ils sont trop beaux ces chats. Vivement que le printemps revienne que l’on puisse savourer le doux rayon de soleil.
Oui et faire comme les chats, s’allonger, s’étirer et regarder le ciel ! Ça vient, ça va venir, déjà les jours ont bien rallongé. Les oiseaux chantent bien gaiement et, quand on sait voir, il y a
des trucs qui poussent.
J’oserais un « cacophonie magistralement organisée », le chef d’orchestre respire la joie, c’est beau.
Des jeunes dans cet orchestre, c’est réjouissant et ça donne de l’espérance.
Bonne balade Claire.
C’tait une très belle aventure que celle de ce chef et de ses musiciens : tous enfants de la rue, doués mais paumés et sauvés par la musique !
Quant à la cacophonie, ça me va complètement, parce qu’elle est joyeuse et très maîtrisée, comme tu le dis.
Aaaaahhhh ce chat !
Oooohh ce tableau !
Et cette musique………
On en prend plein les yeux et les oreilles. On se prélasse et on s’envole…
Bon voyage à toi aussi.
Merci Alala merci, je profite, je profite mais pour se prélasser au soleil comme le chat, faudra patienter encore un peu : fait trop frais !
Et merci aussi, bien que ce ce XYZ qui y ait pensé, pour l’anniversaire de mon blog ; je n’y avais pas pensé ! Alors, tous en chœur : Joyeuzaniversaire, le blog !
Comme j’aime la photo des chats! Remplis toi ma “Claire” de bonnes choses de la vie… Du soleil, du vent aussi, de mimosas (multitude de petites soleils), un bon verre qui requinque, l’air des
basses Alpes; en prendre plein les yeux, le nez, la tête, “lacher prises”. Ressource toi à fond, oublie toutes sources de colère, trouve l’apaisement et reviens nous “Belle, forte” comme tu sais
l’être… Bye bye à bientôt (Tu vas nous manquer).
Je boucle ma valise (je ne sais toujours pas les faire !) et je m’arrache.
Merci de ton accompagnement, tes souhaits et tes conseils : je vais tout faire comme tu dis.