Sereine et/ou enfiévrée, la poésie est énergie. Je découvre, avant d’aller lire quelques textes à la Halle des Chartrons, que le blog de Pierre Rabhi s’appelle « L’insurrection des consciences ». Il y dit, en autres belles choses : « Sachez que les arbres et le vent se délectent de la mélodie qu’ensemble ils enfantent, et l’oiseau, porté par le souffle, est un messager du ciel et de la terre. »
Et Bonnafé (merci, VHM), parrain de cette 17ème édition du Printemps des poètes cite Novalis :
« Plus il y a de poésie, plus il y a de réalité. »
Et Bonnafé (merci, VHM), parrain de cette 17ème édition du Printemps des poètes cite Novalis :
« Plus il y a de poésie, plus il y a de réalité. »
J’avais prévu de lire un texte… et je ne l’ai pas fait. Je vous le livre maintenant :
Nous sommes si séparés
Sur les lèvres, un éblouissement bleu
Si lestés au plexus,
De l’enfance plein la figure, pourtant.
Sur les lèvres, un éblouissement bleu
Si lestés au plexus,
De l’enfance plein la figure, pourtant.
Sans cran de sûreté,
Sans cran d’arrêt,
Sans mot, sans écran
Sans cran d’arrêt,
Sans mot, sans écran
Directement livrés aux lames.
Les mots n’aiment pas les mots d’ordre.
Merci à Jean-Paul, Meriem et Monique et Guylaine… Pour tous, une chanson de Jean Vasca (vidéo ne veut pas s’ouvrir, j’espère que le lien suffira).
P. S. mars 2017 : j’appris depuis la rédaction de ce billet bien des choses désagréables sur Pierre Rabhi. Je ne suis pas idolâtre donc je peux faire marche arrière sur le personnage, cela ne me dérange pas. Quant aux mots que je cite, ils sont ma foi, bien innocents… Je les laisse donc.
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