Toujours par hasard, je découvre ce tableau de Andrew WHYETH et ça me fait un bien fou, donc je fais tourner.
De l’air, oui, de l’air, comme disaient les parents quand ils en avaient marre qu’on leur tourne autour, » comme des mouches sur la crotte » disait Mané (ce qui n’était pas très sympa pour les parents eux-mêmes mais elle n’était pas à une contradiction près) !
Là, je manque d’air, franchement : on étouffe ! On est cernés.
Où faut-il donc aller pour qu’il n’y ait pas dans l’atmosphère ces relents d’égouts, de dégoût, de m… oui, de m…
Sans donner de leçon(s) ou jouer les vertueux, c’est franchement nauséabond, tout ce fric déballé, ces états d’âme de cour d’école autour d’un ballon (et ça c’est méchant pour les enfants), ces caprices à 5 milliards de dollars, ces niches fiscales défiscalisées (wouah wouah), ces vols légaux et – pas charters mais très chers- ces pôv zommes politiques qui vont devoir payer leurs frais personnels… mais que ça pue ! Pestilentiel comme disait Coluche. Pour moi, c’est ça l’obscène.
AU SECOURS : DE L’AIR !!
Angélique Ionatos chante Fenêtre sur le golfe de Corinthe, texte Dimitra Manda – musique M. Theodorakis – Album Thalassa. C’est frais, ça fait du bien.