Petite récré

Dans l’article sur Duras et Lowry, j’ai oublié de raconter l’anecdote que voici :

Il y a des années, un mien ami alla dans une librairie pour acheter le livre … Dialogue entre l’ami et la vendeuse :

– Avez- vous Au dessous du volcan, s’il vous plaît ?

– Euh, non, Monsieur, je ne crois pas… Par contre, nous avons Cratères en feu d’Haroun Tazieff !

Que voulez-vous dire après ça ?

Ah si ! je peux aussi citer le charmant petit aphorisme mais je ne sais plus qui en est l’auteur : cet oubli sera vite réparé, promis. En attendant :

Quand les sentiers en auront assez d’être battus, ils se révolteront.

[merci, Martin]

rwl02011.jpgEt enfin, petit flash-back :

 Dans le billet sur la Saudade du 2 mars, Nana avait laissé un beau commentaire qui évoquait le manque… Eh bien, le cher Pierre Barouh (oui chabada bada, vous vous souvenez, Un homme et une femme, oui, celui-là) a pour définir ce mystérieux vocable la définition suivante :  » La Saudade, c’est le manque habité « . Voilà, c’est joli, non ?

0 Shares:
Choisissez de suivre tous les commentaires ou seulement les réponses à vos commentaires
Notification
guest
2 Commentaires
Inline Feedbacks
View all comments
Vous pourriez aussi aimer

Éclats de Novembre

B. Britten Moonlight un des quatre Sea Interludes. Ce compositeur dont l’âme est d’ailleurs. L’autre matin, c’était comme ça…
Lire la suite

Gifto

Les cadeaux présents, contenu contenant, douceur dedans dehors, et un poète qui nous a fait tant de cadeaux !