Ce n’est pas de l’immodestie : juste une façon de remercier et de laisser parler d’autres voix sur la mienne, celle de Dominique Boudou, écrivain. Sur son blog http://dominique-boudou.blogspot.fr/ il me fait ce cadeau que je vous transmets :
« Après Six petites perdrix, publié en 2010, Claire Massart fait paraître L’Oubli des étangs, toujours aux Éditions du Greffier. Elle poursuit avec cette nouvelle livraison son chemin philosophique en interrogeant la permanence fragile de la nature. « Et si les lieux n’étaient que nous-mêmes ? », écrivait Catherine Sanchez au sujet de Claire Massart. Hélène Baron lui fait chorus : « On devient alors la respiration des arbres, le baiser de la rivière, ces ombres d’arbres qui se bagarrent sur le mur… »
Claire Massart n’est pas une promeneuse des arpents bucoliques où la pensée s’alanguirait. La nature est aussi un tumulte en écho avec les tumultes des souvenirs. L’écorce des troncs et l’écorce du cœur saignent tout pareil. Parfois, « il pleut des cris ».
Je vous recommande vivement la lecture de cette voix discrète et néanmoins ferme ainsi qu’une visite à son blog Lestempesdutemps.com […]. Savourez lentement les extraits suivants :