Et on commence en beauté :
Où il est dit : L’art féminin est un art de vivre, celui d’être éprise de liberté.
Où il est question d’Anna Akhmatova (gauche) parlant d’elle même comme « invitée chez la vie », de fourrures, de vernis aussi… Plus difficile pour elles jusqu’à récemment.
Il y est encore question de Colette, de Lou Andreas Salomé, de Camille Claudel avec ce frère si sympa ! (dessous)…
Et aussi d’Artemisia Gentileschi et d’Alma Malher. Pour beaucoup d’entre elles, des destins tragiques à cause de ça, de cette poussée créatrice dont ils ne voulaient pas !
Pas la place sans doute pour évoquer les plus rigolotes, les fortes en gueule, les rêveuses, les moins connues mais si talentueuses… J’en ai, par chance, autour de moi. Il y en a tant et la revue est petiote.
Je viens de voir Firefox, film fort tiré d’un livre de Joyce Carol Oates, Confessions d’un gang de filles ou de la révolte des filles qui ne veulent plus être traitées « comme ça ».
Je suis en train de lire l’extraordinaire Home de Toni Morrisson (cf. billet 14 du 14/02/10) et viens de finir Moi, Jean Gabin de Goliarda Sapienza, l’auteur du flamboyant Art de la joie.
Mon dernier billet évoquait la peintre Henriette Lambert, j’en parlais déjà en 2010 aussi. J’ai parlé d’Iris Murdoch,
Je ne le fais pas exprès… C’est comme ça.