Quand le cœur pleure sur ce qu’il a perdu, l’esprit rit sur ce qu’il a trouvé.
Aujourd’hui, 7 juin 2012
Pour l’anniversaire de son fils, Chostakovitch composait ceci :
Je lui emprunte, juste pour aujourd’hui ou pour l’éternité. Plutôt pour l’éternité plus (+) un jour et aussi pour toi, où que tu sois.
J’ai bien écouté cette musique qui est belle belle et je pense à toi….
Merci Maman.
Merci à toi pour tous ces moments partagés… moments communiés tant nous approchons de près ce que l’autre ressent. Avec respect et souvent sans mots.
Dans un ailleurs, un enfant de lumière veille sur nous.Ecoutant Shostakovitch j’ai ressenti un moment d’apesanteur,submergée par l’émotion quelques larmes apaisantes ont lavé un peu le chagrin,
et de belles images de Thomas défilent merveilleusement consolantes…
Voilà… célébrer ainsi sa vie et accueillir avec gratitude tout ce qui nous la rappelle. Merci, Nana, tes mots aussi sont consolants.
Quelle beauté cette musique !
Oui, hein ? Une gorgée d’éternité… une respiration large large qui emmène loin loin