Samedi 20 novembre, informations de 19h00 : le plus sérieusement du monde, la journaliste annonce : le pape ne met plus le préservatif à l’index – Silence dans l’automobile, digérant l’impact de la nouvelle puis… hurlements de rire.
Le pape aurait pu boycotter le préservatif mais dans ce cas, on aurait pensé qu’il allait laisser tomber ses fournisseurs ; il aurait pu le déconseiller mais on était en droit de se demander quelle expérience il a de la chose ; il aurait pu en désapprouver, en improuver ou en réprouver l’usage… Non : avant il le mettait à l’index et maintenant, on ne sait pas trop où, on n’ose imaginer.
Vous vous souvenez de Philadelphia ?
Bruce Springsteen – Streets Of Philadelphia
Ha ha ha !
Je me demandais moi aussi, comme Véronique, pourquoi cette chanson.
Philadelphie, ça a l’air bof-beurk comme ville. Sauf les peintures de façades, à 01.50, ça c’est chouette.
On dirait que ce mois de novembre donne des ailes à l’humour. Sur ton blog.
Ta perplexité devant mon choix musical confirme que le rapport ne sautait pas aux oreilles (et là, c’est l’auriculaire qu’on y met !). J’avais très peu de latitude et j’adooooore Bruce springsteen,
et cette chanson en particulier. Je lutte contre novembre avec la meilleure arme : le rire et je crois savoir que ça fait du bien à tout le monde, hein ?
Enfin tout s’explique ! Et qu’est ce qui se passe s’il se met le doigt dans l’oeil?
mais à part ça, vous avez vu la Mustang dans le clip?
Ça dépend lequel ! Le pire, c’est le pouce !
Mais yes, bien sûr, qu’on l’a vue, la Mustang… et comment (même si on n’a d’yeux que pour Bruuuuuuce)
Quel est le rapport (en tout bien tout honneur, bien sûr!) entre le pape et Bruce S. ? Pas compris…
Pas très explicite, c’est vrai : eh bien, c’est la musique du film Philadelphia qui était donc le premier à évoquer la mort par le SIDA… d’où le préservatif à l’index du pape. Je t’accorde
que…
En tous cas, par cette information, merci à France-culture qui nous aide à comprendre les errements déplorables du pape sur le sujet. Quelqu’un s’est enfin dévoué (on imagine quels trésors de
délicatesse il a fallu déployer !) pour lui expliquer l’utilisation de l’objet et ainsi mettre fin à un malentendu qui fit vaciller le monde catholique.
On attend avec impatience la note de service rectificative, et on souhaite bien du plaisir à son rédacteur. Hi, hii, hiii !
Ouarffffff : voici une interprétation à laquelle je n’avais pas pensé. Eh oui, il ne savait pas, le pauvre pape. Je comprends mieux le ton de commisération et de soulagement adopté par la
speakerine. Habemus intellegentem papam !