Dans l’article sur Duras et Lowry, j’ai oublié de raconter l’anecdote que voici :
Il y a des années, un mien ami alla dans une librairie pour acheter le livre … Dialogue entre l’ami et la vendeuse :
– Avez- vous Au dessous du volcan, s’il vous plaît ?
– Euh, non, Monsieur, je ne crois pas… Par contre, nous avons Cratères en feu d’Haroun Tazieff !
Que voulez-vous dire après ça ?
Ah si ! je peux aussi citer le charmant petit aphorisme mais je ne sais plus qui en est l’auteur : cet oubli sera vite réparé, promis. En attendant :
Quand les sentiers en auront assez d’être battus, ils se révolteront.
[merci, Martin]
Et enfin, petit flash-back :
Dans le billet sur la Saudade du 2 mars, Nana avait laissé un beau commentaire qui évoquait le manque… Eh bien, le cher Pierre Barouh (oui chabada bada, vous vous souvenez, Un homme et une femme, oui, celui-là) a pour définir ce mystérieux vocable la définition suivante : ” La Saudade, c’est le manque habité “. Voilà, c’est joli, non ?