Les tempes : le retour ?

« Je suis obscur comme le sentiment. » Pierre Reverdy – Le Gant de crin

On me dit que mes vieilles tempes peuvent encore apparaître. C’est ce que l’on va voir. On me dit, dans une langue que je maîtrise mal, faites ci, faites ça. Je fais. J’essaye de faire. Si ce blog est de nouveau visible, j’essaierai d’y faire vivre le réel et la joie, difficile compagnonnage.

Pour l’instant, je vis dans la mélancolie d’un passé que je n’ai peut-être même pas vécu et dans la joie présente d’un oiseau venu donner, sans le savoir, sa petite silhouette.

Alors, sans doute à bientôt.

 

0 Shares:
Choisissez de suivre tous les commentaires ou seulement les réponses à vos commentaires
Notification
guest
1 Commentaire
Inline Feedbacks
View all comments
Vous pourriez aussi aimer

Duende

Avant de démarrer ce billet, je dois des excuses aux visiteurs qui ne verront pas leur commentaire publié …

Soucis de mars

Musique de guerre ? Voyons… La Chevauche des Walkyries (j’allais écrire des Vaches qui rient) ou This is…

Duffy

Toute petite déjà, Duffy m’enchantait ! Je crois que c’est un bouquet d’anémones que j’ai vu en premier…