Trois frères éphémères
Trois mères effrayantes
Trois effraies charmantes
Trois rêves d’envergure
À quelques encablures
De notre présent à nous même
Il n’y a qu’un pas.
Mais c’est un pas de deux.
Trois frères éphémères
Trois mères effrayantes
Trois effraies charmantes
Trois rêves d’envergure
À quelques encablures
De notre présent à nous même
Il n’y a qu’un pas.
Mais c’est un pas de deux.
Beau jeu sur les sonorités de la langue, où l’émotion n’est pas perdante dans ce “pas de deux”.
Merci, belle, de tes mots posés sur ce rêve…