Nouvel an – Poème non saisonnier

 Un pays simple

Qui accepte son silence

Détoure ses branches

N’offre que sa modestie

Les arbres y sont de dos

Presque rien :

Juste la chanson du feu

Et, de mes amis,

Les rires en escarbilles

L’Écouté, 1er janvier 2010

0 Shares:
Choisissez de suivre tous les commentaires ou seulement les réponses à vos commentaires
Notification
guest
1 Commentaire
Inline Feedbacks
View all comments
Vous pourriez aussi aimer