– Ciel, qu’apprends-je ? Rachida Dati , le retour (en grâce). « J’ai besoin d’elle » dit-il. Pas bon, ça. Alors, les rôles étant distribués pour la campagne, qu’est-ce qu’il lui reste dans le casting, à l’ex-ministre de la Justice ? Se montrer, faire la belle, dire » Il est génial, c’est lui qu’il vous faut « . Pas sûr que ça lui rende service au candidat-président…
– Saturation totale de The Artist ! Je n’avais déjà pas très envie de voir ce film mais là, le gavage est tel que la nausée me gagne. Le matraquage ne risque-t-il pas d’être contre-productif, à force ? Par contre, contente comme tout que Le Chat du Rabbin (Joan Sfarr) ait gagné quelque chose, je ne sais plus quoi, je me mélange un peu les pinceaux entre Oscar, César, Balthazar, Léonard.
– Élection virtuelle en Russie vu que l’opposition est laminée. Mais une journaliste du Monde souligne l’érotisation de la campagne de Poutine lequel s’est forgé une image d’homme qui ne boit pas, (l’anti Eltsine) sportif – qui tue des baleines, carresse des ours et fait du judo – et très viril. Devant les caméras et sur des affiches, de belles filles, grandes et pulpeuses, déchirent leur corsage parce que, pour elles, « Poutine déchire ». C’est pas de l’argument politique, ça ?
– Honneur aux vaches : plein de vaches partout aussi en ce moment avec le film Bullhead qui a l’air beau et triste, le docu Bovines ou la vraie vie des vaches que je vais vite aller voir et… bien sûr, le Salon de l’Agriculture !
Et pour finir, une triste nouvelle : le tulipier qui était en fleurs début février (voir billet 260 série météo) est tout grillé cramé brûlé calciné. Je vais le voir souvent et l’encourage. Je vous dirai comment il se sort de ce mauvais pas.