Les moustiques ne font pas de quartier : ils piquent sans distinction d’âge, de sexe, de religion, de métier et de moment. Je devrais dire ELLES car seules les moustiquesses piquent. Les garçons butinent.
J’entends René KOERING – compositeur, producteur et tout et tout – raconter à la radio une histoire que je trouve très rigolote : il assiste, avec Alfred BRENDEL (ci-contre) à un concert de Murray PERAHIA (ci-dessous) dans le sud de la France. Ils sont au premier rang. Et soudain, Brendel saisit le bras de Koering et lui souffle : ” Il a un moustique autour du visage… là, le moustique est sur sa main… C’est horrible ! “ Et Perrahia, impertubable et héroïque, continue de jouer.
Après le concert, Brendel dit à Koering : “Jamais je n’aurais pu… J’aurais fermé le couvercle du piano… Je serais parti en courant ! ” Que jouait donc Murray Perahia ? Ceci peut-être ? Ce qui expliquerait que même la moustique n’a pas osé déranger l’artiste.
Ou alors ceci, joué cette fois par Brendel ?
Et si vous aimez Jean-Sébastien Bach, puis-je vous recommander ceci (clic droit/ouvrir). Après ça, les moustiquesses peuvent aller bzibziter ailleurs. La musique adoucit les morses ET les moustiques. Et toc !
Quel beau vert, cette feuille !
Qui aimerait le chant des moustiques ! Mais ils t’ont inspiré un très bon choix musical alors, ça m’emmerde de le dire mais, pour une fois, merci à eux !!!
Oh et puis, veiller sur et surveiller, bravo, c’est exactement ce que je voulais dire.
Ouiche ! on en mangerait ! avec le moustique en protéine… miam miam !
La musique, hein, toujours là, présente au cœur, illuminant tout, mais avec ces 2 là, rien à jeter, tout est bon !