Les affres du départ qui recommencent dans le sens inverse. Les montres à mettre à l’heure du pays. Penser au printemps que l’on va retrouver, aux personnes qui vous attendent, aux animaux qui n’en pensent pas moins.
Se dire qu’on reviendra, c’est sûr, c’est promis, c’est juré, croix de bois croix de fer.
Dire aux amis d’ici qu’on les attend déjà, qu’il faut qu’ils viennent saluer la Garonne et le Bassin.
En attendant, écouter encore l’accent canard-berrichon de nos potes et remercier la vie de ce qu’elle nous donne quand on sait recevoir.
À suivre…
Ce nouveau billet est encore bien joli et il décrit bien l’ambiance canadienne.
Tes photos sont bien belles et les lecteurs les verront bientôt ! Tu reconnais l’écureuil ? C’est Albert, celui qui t’as fait de l’œil !
Moi, suis bien contente de te savoir avec tout ce que tu rapportes dans tes yeux et… revenue ici. Ben oui !
Retrouver les arbres légèrement vêtus, des duvets fins partout et en couleurs, s’il vous plaît… Ça change du blanc. Et puis surtout retrouver les amis, c’est d’la joie pure. On va se voir,
hein, Birgit ? J’ai des écureuils et de la neige plein les yeux, à partager.