Voyez la préoccupation majeure ! » Fait frais, ce matin. Ouaips, pas plus de 15° » On louche sur la bonne vieille veste. » Oui, mais à 15 heures, je vais avoir trop chaud » – » Et les chaussettes ? J’en mets aujourd’hui ? » Dans chaussettes, il y a chaud. Rien que de dire le mot, j’ai les pieds poites. C’est terrible !
Pendant ce temps, quand même, entre deux hésitations majeures et trois attermoiements, je lis des choses qui ont aussi leur importance… Je lis, par exemple que les américains ne peuvent pas se passer de leurs armes : NO, THEY CAN’T est intitulé cet article pour contrecarrer le YES, WE CAN. Il n’en est pas question.
Et ça me chagrine fort parce qu’on sait bien que tant qu’il ne se passera rien sur le sujet, le pays restera violent.
Violente aussi l’injonction faite à certaines personnes de prendre des médicaments dont la Faculté affirme l’indispensabilité – Ah non, celui-là, vous ne pouvez pas l’arrêter ! – et dont pas mal de monde commence à se méfier sérieusement. Pas nouveau, me direz-vous, mais drôlement amère la pilule car je ne sais pas vraiment si elle me fait du bien mais je sais qu’elle me fait du mal ! Les labos l’ont dit : YOU CAN’T !
Ah là là, je vais mettre une petite laine, moi, fait frisquet tout d’un coup !