Voyez la préoccupation majeure ! ” Fait frais, ce matin. Ouaips, pas plus de 15° ” On louche sur la bonne vieille veste. ” Oui, mais à 15 heures, je vais avoir trop chaud ” – ” Et les chaussettes ? J’en mets aujourd’hui ? ” Dans chaussettes, il y a chaud. Rien que de dire le mot, j’ai les pieds poites. C’est terrible !
Pendant ce temps, quand même, entre deux hésitations majeures et trois attermoiements, je lis des choses qui ont aussi leur importance… Je lis, par exemple que les américains ne peuvent pas se passer de leurs armes : NO, THEY CAN’T est intitulé cet article pour contrecarrer le YES, WE CAN. Il n’en est pas question.
Et ça me chagrine fort parce qu’on sait bien que tant qu’il ne se passera rien sur le sujet, le pays restera violent.
Violente aussi l’injonction faite à certaines personnes de prendre des médicaments dont la Faculté affirme l’indispensabilité – Ah non, celui-là, vous ne pouvez pas l’arrêter ! – et dont pas mal de monde commence à se méfier sérieusement. Pas nouveau, me direz-vous, mais drôlement amère la pilule car je ne sais pas vraiment si elle me fait du bien mais je sais qu’elle me fait du mal ! Les labos l’ont dit : YOU CAN’T !
Ah là là, je vais mettre une petite laine, moi, fait frisquet tout d’un coup !
Et bien, comme beaucoup, je suis en plein dedans…, mais notre été indien s’accroche et c’est bien; il faut prévoir la petite laine du matin et du soir ( la petite laine africaine). Cela nous
permet de remettre un peu d’ordre dans le bazard-désordre. Du temps des grands-mères, elles appelaient ça “Grand nettoyage du printemps et de l’automne”. Je me suis apercue que plus on range,
moins on trouve! Je me sens encore un peu déboussolée après avoir vécu tant de temps légèrement vêtue….
Ben, moi qui me suis baignée hier dans l’Océan (frais, très frais !) et qui n’avais pas assez de “la petite laine ” avant ! Après le bain, au soleil sur la plage, j’ai grillé comme une
amande. Faut bien s’plaindre un peu… Et vu que d’ordinaire, je range peu, en ces saison dites “demi”, j’abdique carrément.
A qui se fier ? A quoi ? On évalue de plus belles, qui les capacités, qui les risques, qui les variables entre les deux qui ne font pas toujours la paire et se contredisent, selon la valeur
estimée et la plus value des cours de la bouse… Quelle merdouille !
Les cours de la BOUSE ? J’adore car c’est vraiment de la M… Sinon, se fier juste à son envie d’apparier, de déparailler, d’appareiller… Pour le reste, le vent fera son job ! (Et les
pharmaciens leur beurre si on attrape froid )