Bruno Ganz

IN THE WHITE CITY, Bruno Ganz, 1983
Mon admiration pour un homme… acteur mais bien plus sans doute

Ganz, Bruno Ganz… Nom associé, dans un joyeux (?) désordre à d’autres noms, cinéastes et acteurs. Fil rouge : Bruno Ganz

Dans la ville blanche, Bruno Ganz, 1983.
Dans la ville blanche, Bruno Ganz, 1983.

Parce que le visage est grave et tendre, parce que la filmo est exemplaire et l’homme modeste. Et toujours associé, dans mes souvenirs, à des moments doux et chagrins, forts et fragiles. L’homme sourit parfois de côté, sans y croire, comme en passant.

 En 1972, il tient le rôle principal de L’Ignorant et le Fou de Thomas Bernhard au festival de Salzbourg. Et quelques films au hasard (?), pour vous situer, si besoin, le bonhomme :

1977 La Femme gauchère Peter Handke

1979 Nosferatu – fantôme de la nuit de Werner Herzog

1983 Dans la ville blanche de Alain Tanner (photo)

1987 Les Ailes du désir de Wim Wenders (ah mon cher Peter Falk)

2009 The Reader de Stephen Daldry… et j’en passe et j’en passe !

Le choix de la musique est dû à une confusion de ma part : j’étais persuadée que Bruno Ganz jouait dans le fim incroyable de Werner Herzog, Cœur de Verre, musique du Studio der frühen musik (que j’adorais à l’époque !). Alors, vous avez droit à une des musiques d’un film dans lequel Bruno Ganz ne joue pas mais qui est de Werner Herzog. Ainsi va le monde de la mémoire.

Oui, souvenirs, souvenir des Ailes du désir, des îles du désert ! Baroques, la musique et la vie !

Bruno-Ganz.jpg

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